La confession religieuse possède une grande influence sur la culture, ce n’est plus à prouver. C’est ainsi qu’il existe de nombreuses manières de parler propres à la religion qui finissent par meubler les habitudes culturelles et usuelles d’une communauté. C’est le cas par exemple de l’expression « Wallah lahdim » qui revient souvent dans les conversations entre musulmans. Beaucoup se demande ce que cela peut bien vouloir dire et quelle peut en être la provenance d’une telle expression. Voici un article qui explique et détaille l’expression « Wallah lahdim ».
La véritable signification de l’expression Wallah lahdim
Il faut savoir que l’expression se constitue de deux mots composés qu’il faut chercher à comprendre avant de maîtriser l’usage que l’on en fait aujourd’hui. Wallah dans un premier temps, provient de la contraction de deux mots : « oua » et « Allah ». Le premier mot signifie « et » alors que « Allah » s’utilise pour désigner Dieu ou la divinité suprême dans l’Islam. Pour résumer, la traduction correcte de « oua Allah » qui devient « Wallah » correspond à : Par Dieu.
D’un autre côté, lahdim également vient de la fusion de deux autres mots : « Al » et « Adheem ». Al s’utilise pour dire le plus souvent, « le » alors que « Adheem » sert à désigner la toute-puissance d’une personne ou d’une entité. Le dernier terme accompagne des actions ou des domaines pour dire que c’en est le niveau le plus élevé ; une bonté Adheem (le niveau le plus élevé de la bonté) par exemple.
Tous ces éléments réunis peuvent permettre de dire que l’expression Wallah lahdim signifie : « par Dieu le tout puissant » ou « par Allah le tout puissant ». Il s’agit donc d’une manière de jurer ou de prendre Dieu comme témoin de ce que l’on avance. Dans le cas d’espèce, la traduction la plus adaptée serait « je jure par Allah le tout puissant ». Toute sa valeur se trouve dans l’Islam car cette appellation de Dieu est spécifique à cette confession religieuse.
La portée véritable de l’expression
Wallah lahdim est une expression consacrée comme mashallah, bismillah, hamdoullah et bien d’autres, pour évoquer un mélange entre une réalité quotidienne et une référence à Dieu dans l’Islam. Elle s’utilise en effet pour apporter plus de crédibilité à ce que l’on dit en prenant Allah ou Dieu comme témoins des faits que l’on avance ou de quelque chose que l’on promet.
L’expression s’emploie beaucoup plus par les adolescents et les jeunes adultes. Par conséquent, elle a commencé à perdre son côté spirituel avec le temps. En effet, elle s’utilise aujourd’hui dans de nombreuses situations, juste pour témoigner de la conviction de la personne qui parle et beaucoup moins pour la référence à Dieu.
La portée de l’expression chez les personnes à statut particulier
Dans l’Islam comme dans beaucoup de cultures, il existe des gens à statut particulier. Une telle expression provenant de la bouche d’une de ces personnes peut avoir un certain effet selon la situation. En effet, un dirigeant religieux (imam par exemple) ou une personne du troisième âge peut s’en servir pour bénir ou maudire une tierce personne (moins âgée ou non) en fonction de la situation.
La confession religieuse possède une grande influence sur la culture, ce n’est plus à prouver. C’est ainsi qu’il existe de nombreuses manières de parler propres à la religion qui finissent par meubler les habitudes culturelles et usuelles d’une communauté. C’est le cas par exemple de l’expression « Wallah lahdim » qui revient souvent dans les conversations entre musulmans. Beaucoup se demande ce que cela peut bien vouloir dire et quelle peut en être la provenance d’une telle expression. Voici un article qui explique et détaille l’expression « Wallah lahdim ».
La véritable signification de l’expression Wallah lahdim
Il faut savoir que l’expression se constitue de deux mots composés qu’il faut chercher à comprendre avant de maîtriser l’usage que l’on en fait aujourd’hui. Wallah dans un premier temps, provient de la contraction de deux mots : « oua » et « Allah ». Le premier mot signifie « et » alors que « Allah » s’utilise pour désigner Dieu ou la divinité suprême dans l’Islam. Pour résumer, la traduction correcte de « oua Allah » qui devient « Wallah » correspond à : Par Dieu.
D’un autre côté, lahdim également vient de la fusion de deux autres mots : « Al » et « Adheem ». Al s’utilise pour dire le plus souvent, « le » alors que « Adheem » sert à désigner la toute-puissance d’une personne ou d’une entité. Le dernier terme accompagne des actions ou des domaines pour dire que c’en est le niveau le plus élevé ; une bonté Adheem (le niveau le plus élevé de la bonté) par exemple.
Tous ces éléments réunis peuvent permettre de dire que l’expression Wallah lahdim signifie : « par Dieu le tout puissant » ou « par Allah le tout puissant ». Il s’agit donc d’une manière de jurer ou de prendre Dieu comme témoin de ce que l’on avance. Dans le cas d’espèce, la traduction la plus adaptée serait « je jure par Allah le tout puissant ». Toute sa valeur se trouve dans l’Islam car cette appellation de Dieu est spécifique à cette confession religieuse.
La portée véritable de l’expression
Wallah lahdim est une expression consacrée comme mashallah, bismillah, hamdoullah et bien d’autres, pour évoquer un mélange entre une réalité quotidienne et une référence à Dieu dans l’Islam. Elle s’utilise en effet pour apporter plus de crédibilité à ce que l’on dit en prenant Allah ou Dieu comme témoins des faits que l’on avance ou de quelque chose que l’on promet.
L’expression s’emploie beaucoup plus par les adolescents et les jeunes adultes. Par conséquent, elle a commencé à perdre son côté spirituel avec le temps. En effet, elle s’utilise aujourd’hui dans de nombreuses situations, juste pour témoigner de la conviction de la personne qui parle et beaucoup moins pour la référence à Dieu.
La portée de l’expression chez les personnes à statut particulier
Dans l’Islam comme dans beaucoup de cultures, il existe des gens à statut particulier. Une telle expression provenant de la bouche d’une de ces personnes peut avoir un certain effet selon la situation. En effet, un dirigeant religieux (imam par exemple) ou une personne du troisième âge peut s’en servir pour bénir ou maudire une tierce personne (moins âgée ou non) en fonction de la situation.